Google l’affirme : les établissements qui publient des images attirent davantage de clics vers leur site et reçoivent plus de demandes d’itinéraire que ceux qui n’en ont pas ( source brightlocal.com). Mieux : figurer dans le « Local Pack » (les trois premiers résultats cartographiques) peut générer jusqu’à 126 % de trafic supplémentaire et 93 % d’actions en plus (appels, visites, etc.) comme on peut le lire sur hireawriter.us. Autrement dit, chaque photo bien pensée agit comme un micro-levier SEO : elle enrichit le profil, nourrit l’algorithme de signaux frais et rassure les internautes.
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Les trois piliers d’une photo gagnante
| Pilier | Pourquoi c’est crucial | Bonnes pratiques |
|---|---|---|
| Qualité | Google privilégie les visuels nets et réalistes | Ratio 1:1 recommandé, 720 × 720 px minimum, JPG ou PNG 10 kB–5 MB |
| Pertinence | L’image doit illustrer l’activité et la localisation | Privilégier des photos prises in situ ; bannir la banque d’images |
| Fréquence | Un flux régulier signale une entreprise active | Ajouter 2 à 3 visuels par semaine, supprimer les clichés obsolètes |
AUtre point : Comme toujours, respectez en parallèle les content policies de Google : reflets fidèles, pas de filtres excessifs, ni de superposition de texte intrusive support.google.com.
Plan opérationnel en 5 étapes (prompts ChatGPT inclus)
Renommer les fichiers avec des mots-clés locaux
Prompt :
« Génère 10 noms de fichiers SEO pour des photos d’un à (format mot-clé-local-service.jpg). »
Exemple : plombier-lyon-vanne-douche.jpg
Pourquoi : Le nom de fichier est souvent repris par Google Images et renforce la sémantique locale.
Ajouter des métadonnées de localisation (Geotag)
Le sujet fait débat : une étude de Search Engine Land (mars 2025) montre un impact positif limité aux requêtes « près de moi », mais neutre, voire négatif, sur les recherches « ville + service » dixit searchengineland.com. Autrement dit, geotagger n’est pas un facteur miracle, mais peut compléter le reste de la stratégie.
Prompt :
« Explique comment géolocaliser des photos pour un à et liste des outils gratuits. »
Outils conseillés : GeoSetter, LocalPics, Grapefruit SEO Geo-Tagger, ou l’API ExifTool (open-source). Pensez à vérifier que Google ne supprime pas les tags lors de l’upload.
Programmer des uploads réguliers
Prompt :
« Crée un calendrier de publication de photos pour un à sur Google Business Profile, 2–3 idées par semaine pendant 4 semaines. »
Plan type :
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Lundi : produit vedette / plat du jour
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Mercredi : coulisses (équipe, atelier)
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Vendredi : avant-après / témoignage client
Répétez en variant saisons et temps forts (soldes, événements, nouvelles collections).
Diversifier les formats
Prompt :
« Donne 10 idées de photos qu’un à devrait publier pour améliorer sa visibilité locale. »
Liste générique : extérieur, intérieur, équipe, produits, clients en situation, process de fabrication, avis 5★ en capture, évènement local sponsorisé, photo 360°, visuel « avant/après ».
Suivre à la lettre les guidelines Google
Prompt :
« Résume les règles d’images pour Google Business Profile et indique ce qu’un à doit éviter. »
En résumé : pas de stock, pas de doublons, pas de contenu trompeur ou flou, texte superposé < 10 % de l’image, résolution ≥ 720p, et respect des catégories (logo, couverture, intérieur, etc.).
Anticiper l’avenir : l’ère de la recherche visuelle
L’intégration grandissante de Google Lens et des AI Overviews rend les visuels encore plus stratégiques : ils alimentent les réponses générées et les carrousels interactifs qui captent l’attention mobile. Anticipez : prévoyez des photos verticales pour les stories Maps, des vidéos courtes (≤ 30 s) et une charte visuelle cohérente sur l’ensemble de vos points de vente.
Mon avis d’expert :
Une stratégie Photo SEO solide combine qualité, régularité, diversité et conformité aux exigences de Google. En appliquant les prompts ci-dessus, vous transformez chaque cliché en signal local positif : plus de visibilité, plus d’engagement, et in fine plus de chiffre d’affaires. À l’heure où l’IA mêle texte, voix et image, l’optimisation visuelle n’est plus un « plus » — c’est la nouvelle norme de l’e-réputation locale.
